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Imagerie anatomique dans l’autisme non syndromique : Étude rétrospective sur 140 IRM
Notice Cairn | Enfance | 1 | 1 | 2009-03-01 | p. 99-100 | 0013-7545
| Enfance | 1 | 1 | 2009-03-01 | p. 99-100 | 0013-7545Langue du texte : Français
RésuméActuellement, il n’existe aucun consensus sur la nécessité de réaliser une IRM dans l’autisme. Cet article résume les résultats d’une étude IRM sur 140 enfants et adolescents autistes non syndromiques et sans autres maladies. Deux neuro-radiologues ont visualisé indépendamment les IRMs. Quarante % des IRM étaient anormales (N = 56) : anomalies temporales : (N = 33) ; anomalies de la substance blanche : (N = 38) ; espaces de Wirshow-Robin dilatés (N = 16). Chez 34/56 patients, nous avons trouvé une association d’au moins 2 types d’anomalies. Ces résultats montrent la forte fréquence des anomalies IRM dans un grand groupe de patients considérés comme ayant un autisme non-syndromique.. Anatomical MRI in non syndromic autism: a retrospective study of 140 MRIsTo-date there is no agreement concerning the need of an MRI to diagnose autism. This short paper summarizes the results of a MRI study including 140 children and adolescents with non-syndromic autism and no additional disease. Two independent neuro-radiologists coded the anatomical MRIs. Forty percent of the MRIs (N = 56) showed major abnormalities : temporal abnormalities (N = 33), abnormalities of the white matter (N = 38) ; dilatation of Wirshow-Robin spaces (N = 16). In thirty-four out of the 56 abnormal IRMs, an association of at least two kinds of abnormalities was found. Such an high rate of abnormal MRIs found in children diagnosed as patients with a non-syndromic autism stresses the need to integrate an MRI as part of the diagnosis process.
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