Allez les filles !
Livre
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Edité par LE SEUIL - 1992
Date de publication : 02/01/1992
Description : 250 pages
Langue du texte : français
Cote : 305.4 BAU
Producteur fiche : ILEPS
Mots-clés : CENTRE DE DOCUMENTATION ; COMPETENCE ; ECOLE ; ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ; ENTREPRISE ; FAMILLE ; FEMME ; FRANCE ; HISTOIRE ; MIXITE ; SEXE ; STATUT ; TRAVAIL
De la maternelle à la fac, les filles sont les meilleures. Partout où elles accèdent, elles excellent. Cependant, sur le marché du travail, elles ne sont ni les premières ni les mieux payées. Après quatre ans d'enquête, les auteurs démontrent que si l'instruction des femmes a plus progressé en un siècle qu'en 1000 ans, la famille et les entreprises ralentissent encore incidieusement leur percée: intériorisation des vocations dites féminines, filières et débouchés verrouillés, les préjugés culturels défient encore la culture. Pourtant le mouvement est irréversible. Sommaire : Avant propos : le siècle des filles 1 Plus de bachelières que de bacheliers 2 La poussée des étudiantes, un phénomène mondial 3 Mixité des structures, sexismes des mentalités 4 Mathématiques, l'égalité des compétences 5 Français, la suprématie précoce des filles 6 Les maths au lycée : égalité des compétences divergence des orientations 7 Sexe et origine sociale : deux régimes distincts d'inégalité 8 Enseignement professionnel : une mixité difficile 9 L'école en avance sur la famille et l'entreprise 10 Ecole, famille et profession : quel arbitrage ? 4ème de couverture : De la maternelle à la fac, les filles sont les meilleures. Partout où elles accèdent, elles excellent. Et ce, partout dans le monde. Cependant sur le marché du travail, elles ne sont ni les premières, ni les mieux payées. Pourquoi un tel gâchis de compétences ? Après 4 années d’enquêtes, les auteurs démontrent que si l'instruction des femmes a plus progressé en un siècle qu'en 1000 ans, la famille et les entreprises ralentissent encore insidieusement dans leur percée : intériorisation des vocations dites féminines, filières et débouchés verrouillé, les préjugés culturels défient encore la culture. Les filles accumulent un meilleur capital. Les garçons gèrent mieux leurs acquis grâce à l'aide tacite de la société et des entreprises. Pourtant le mouvement est irréversible. Il suffit d'un petit effort. Allez les filles !